La demande mondiale du café de qualité est en train d’augmenter, mais la production de café est en risque. Hausse de la température, mauvais temps et catastrophes menacent les flancs de montagne, dont ont besoin les grains de cette plante de haute altitude pour prospérer.La production du café Arabica en République démocratique du Congo fait face à de sérieuses difficultés. Comme résultat, les agriculteurs de café sont en train de se battre pour survivre.Notre programme appuie aux producteurs de café nos membres des plantules afin d’accroitre les champs de productions des cafés. 

Un premier triage doit être fait afin d’éliminer les corps étrangers ou les déchets tels que fragments de rameaux, feuilles, pierres, sable et parfois même.
On peut aussi retrouver des fruits pourris ou encore verts.
La Coopérative Agricole Muungano utilisent des mamans quant à ce, afin de participer au taux de diminution de la pauvreté en RDC. Dans le triage : les branchettes, les pierres et les parcelles de terre sont ainsi retenues. Les cerises sont de plus séparées des impuretés par courant d’air très violent. Les sacs de fruits sont versés dans des bassins en béton armé, en pierre ou parfois en brique.

Quatique de la gros écologie de la Coopérative Agricole Muungano

Bons nombres de mamans sont engagées afin de trier les cafés avant toute exportation car Les fèves blanchies, marbrées, blanchâtres, bigarrées, savonneuses et décolorées ne peuvent généralement pas être retirées au calibrage ou au triage densimétrique mais elles n’ont pas leur place dans le café de qualité (bien qu’elles soient probablement tolérées dans une certaine mesure dans le segment du marché général). Ces fèves sont pour la plupart dues à des problèmes de humidité et de séchage, mais la décoloration peut également être provoquée par oxydation, contact avec le sol, du métal, de l’eau sale et ainsi de suite. La table densimétrique peut aider mais le seul moyen réellement efficace de retirer ces fèves est le triage manuel ou électronique.